A son arrivée à l’aéroport de Marrakech le 26 novembre, la délégation de la FEMED s’est vue confisquer certains de ses documents de plaidoyer à la douane. Une pratique attentatoire à la liberté d’expression que condamnent fermement nos trois organisations.
« PAS DE RECONCILIATION SANS VERITE ET PAS D’EQUITE SANS JUSTICE » Hadj Ali El Manouzi La Famille et les Amis de Houcine EL MANOUZI, commémorent le 42ème anniversaire de son enlèvement de la capitale Tunisienne, en l’absence d’un grand défenseur du droit à la vie, le père du détenu-disparu, le défunt Hadj Ali EL MANOUZI, décédé le 26 février 2014.
La vérité, toute la vérité sur le sort des disparus A l’occasion de la journée nationale du disparu, les familles de disparu(e)s et des victimes de disparitions forcées au Maroc tiennent à rappeler la situation alarmante du sort des disparus : les disparus sont toujours disparus et les dépouilles des présumés décédés demeurent inaccessibles pour les familles. Les victimes et familles demandent :
C’est avec une vive inquiétude et avec indignation que la Fédération euro-méditerranéenne contre les disparitions forcées (FEMED) a accueilli la nouvelle de la violation du siège de l’Association Médicale de Réhabilitation des Victimes de la Torture (AMRVT), le 13 septembre dernier au Maroc.
La Fédération euro-méditerranéenne contre les disparitions forcées, à l’occasion de la Journée internationale des victimes de disparitions forcée, a organisé une conférence le 29 août 2014. Emmanuel DECAUX, Président du Comité sur les disparitions forcées des Nations-Unies, Geneviève GARRIGOS, Présidente d’Amnesty International France mais aussi une journaliste et un auteur/poète syrien sont intervenus sur le thème : « Irak, Syrie, Libye, la recrudescence des disparitions forcées ».
Le Collectif Al-Haqiqa, composé notamment d’associations membres de la FEMED au Maroc, et la députée européenne Marie Christine Vergiat ont organisé le 9 avril 2014 un colloque sur la disparition forcée et l’impunité au Maroc au Parlement Européen à Bruxelles.
Il y a 15 ans jour pour jour, la ville de Suhareka, Kosovo, a connu le plus important massacre mené par les forces de police militaire serbe à l’encontre de la famille Berisha et d’autres résidents de la ville.