Journée Nationale contre la disparition forcée au Maroc Lors des années de plomb, la commémoration du 29 octobre revêtait un caractère de combat. Les militants engagés dénonçaient le crime odieux de l’enlèvement de Mehdi Ben Barka. Ils condamnaient en même temps un régime qui a fait de la terreur un mode de gouvernement.
Remise de la mention spéciale du Prix des droits de l’homme de la République française au Centre Libanais des Droits Humains – Table-ronde sur la situation dans les lieux de détention au Liban et l’accès aux détenus vulnérables.
Razan Zaitouneh, Samira Khalil, Nazem al Hamadi et Waël Hamada, défenseurs des droits de l’Homme travaillant au sein du Centre de documentation des Violations en Syrie (VDC[1] - organisation non-gouvernementale), auraient été enlevés, comme en atteste les informations parvenues à la Fédération euro-méditerranéenne contre les disparitions forcées (FEMED).
En cette journée internationale des droits de l’Homme célébrant l’anniversaire de l’adoption, le 10 décembre 1948, de la Déclaration universelle des droits de l’Homme (DUDH), la Fédération euro-méditerranéenne contre les disparitions forcées (FEMED) et son réseau de 26 associations-membres présentes sur les deux rives de la Méditerranée souhaiteraient rendre hommage à toutes les familles de disparus, les associations de familles, les défenseurs des droits de l’Homme et les organisations non-gouvernementales qui luttent pour faire toute la lumière sur le sort des disparus
Malgré une visite du bureau du premier ministre irakien, menée par M. Hussein Al-Shahristani en juillet 2013, et déclarant la ville de Tuz Khormato « zone sinistrée », la situation reste particulièrement critique. A Tuz Khormato, le mois de novembre 2013 a été meurtrier à bien des égards :
La Famille et les Amis de Houcine EL MANOUZI, commémorent en ce jour le 41ème anniversaire de son enlèvement de la capitale Tunisienne le 29 octobre 1972. A l’époque, Il n’avait pas atteint la trentaine (29 ans), et il exerçait en tant que mécanicien d’avions. Jeune enfant, Houcine avait côtoyé les milieux de la résistance dans l’ancienne médina de Casablanca, et il avait milité au sein du syndicat UMT (Union marocaine du travail) et du parti progressiste UNFP (Union Nationale des Forces populaires).
A l’heure où l’Algérie soumet sa candidature pour devenir membre du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, les algériens sont réprimés et leurs droits bafoués. Le CFDA a présenté jeudi 12 septembre, au palais des Nations à Genève, lors de la 24ème Session du Conseil, son rapport intitulé : Le régime algérien à l’épreuve des droits de l’Homme – L’illusion du changement.