<p>52 ans après l'enlèvement du leader marocain Mehdi Ben Barka, la FEMED ainsi que d'autres associations militantes des droits de l'Homme, appellent à un rassemblement en sa mémoire le dimanche 29 octobre, boulevard Saint Germain à Paris.</p>
Les Nations Unies ont déclaré le 30 août comme étant la journée internationale pour les victimes de disparitions forcées.
La FEMED a mené en partenariat avec son association membre, libyenne Human Rights Solidarity (HRS), une mission de plaidoyer à Genève les 10 et 11 mai 2017 en marge de la 112ème session du Groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires (GTDFI).
La FEMED et le CFDA ont perdu une amie Le Collectif des Familles de Disparus en Algérie (CFDA) et la Fédération Euro-méditerranéenne contre les Disparitions Forcées (FEMED) ont l’immense tristesse de faire part de la perte de leur amie Annie-France Berthod, militante infatigable des droits de l’homme, vice-présidente du CFDA et trésorière de la FEMED. Annie-France nous appartenait un peu à tous, surtout à ceux qui ont eu le privilège de la côtoyer de près et d’apprécier ainsi sa gentillesse et sa générosité.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Égypte / Fermeture non justifiée du Centre EL Nadeem par les autorités égyptiennes
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Fermeture abusive de deux associations YAKAY-DER et MEYA-DER par les autorités turques Après avoir vu leurs activités suspendues par le ministère de l’intérieur le 11 novembre 2016 suite à la déclaration de l’état d’urgence en Turquie, l’association YAKAY-DER (Association pour la solidarité et soutien des familles de personnes disparues) et MEYA-DER, membres de la Fédération euro-méditerranéenne contre les Disparitions Forcées (FEMED) ont été définitivement interdites et fermées et leurs avoirs ont été saisis.
La Fédération euro-méditerranéenne contre les disparitions forcées a organisé une formation en marge de la Commission africaine des droits de l’Homme et des Peuples (CADHP) à Banjul (Gambie). Des militants des droits de l’Homme venus de différents pays, Burundi, Congo, Cote d’Ivoire, Maroc et Tunisie ont bénéficié de cette formation qui s’est tenue sous le thème « Vérité et Justice pour les disparus ! ». Les travaux de cette formation se sont penchés sur les normes et mécanismes africains de protection des droits de l’Homme.