La juge d’instruction du Tribunal de grande instance de Nîmes a rendu le 26 décembre dernier une ordonnance de mise en accusation à l’encontre de deux présumés tortionnaires algériens résidant en France, Hocine Mohamed et Abdelkader Mohamed.
La guerre au Kosovo de la fin du siècle dernier a favorisé les crimes à grande échelle et eut de nombreuses et diverses conséquences pour les kosovares. Les pires destructions furent commises au sein de la population, surtout entre 1998 et 1999, lorsque de graves crimes contre l’humanité furent perpétrés. Ils ont concerné tous les âges et tous les sexes. Les crimes serbes ont touché la population des zones urbaines et rurales, furent dirigés et concentrés sur les populations vulnérables kosovares et albanaises.
En ce 23 Décembre 2014, nous célébrons le quatrième anniversaire de l’entrée en vigueur de la Convention Internationale pour la Protection de toutes les Personnes contre les Disparitions Forcées (la Convention), après sa ratification par l’Irak. Quatre ans après l’entrée en vigueur de la Convention, ce document, dont la teneur émane directement de la souffrance des familles de disparus, a recueilli 44 ratifications et 94 signatures, la Slovaquie étant le dernier membre adhérent et l’Angola le plus récent signataire.
Monsieur le Premier Ministre Tammam Salam, depuis la fin des opérations militaires au Liban en 1990, les familles des victimes de disparitions forcées au Liban attendent que l’Etat leur rende justice.
A son arrivée à l’aéroport de Marrakech le 26 novembre, la délégation de la FEMED s’est vue confisquer certains de ses documents de plaidoyer à la douane. Une pratique attentatoire à la liberté d’expression que condamnent fermement nos trois organisations.
Au nom de la promesse de liberté du 1er novembre 1954, nous réclamons Vérité et Justice Le 1er novembre 1954, le peuple algérien s’est engagé dans la guerre de libération pour faire valoir son droit à l’autodétermination. Avide de liberté après des décennies de colonisation, le peuple algérien s’est soulevé au nom de la liberté et de la justice.
Journée Nationale contre la disparition forcée au Maroc Lors des années de plomb, la commémoration du 29 octobre revêtait un caractère de combat. Les militants engagés dénonçaient le crime odieux de l’enlèvement de Mehdi Ben Barka. Ils condamnaient en même temps un régime qui a fait de la terreur un mode de gouvernement.