Le Comité des droits de l’Homme de l’ONU a pour la septième fois, condamné l’Algérie pour disparition forcée pendant la décennie noire. Avec l’entrée en vigueur de la Convention internationale sur les disparitions forcées, l’étau se resserre autour de l’État algérien qui interdit aux familles de disparus toute action judiciaire et toute recherche de la vérité.
La Fédération Euro-méditerranéenne contre les disparitions forcées (FEMED) vous prie d’intervenir de toute urgence concernant la situation suivante en Egypte : Circonstances de la disparition : La FEMED a été informé par Sebah Abd El Fatah Mohammed de la disparition de Mohammed Seddiq Tawfiq, fils de Sebah Abd El Fatah Mohammed. Selon les informations recueillies, Mohammed Seddiq Tawfiq, de nationalité égyptienne, né le 05/02/1987, diplômé en licence de commerce extérieur et résidant au Caire, a disparu depuis le vendredi 28 janvier 2011.
Le Réseau Euro-méditerranéen des Droits de l’homme (REMDH), la Fédération Euro-méditerranéenne contre les disparitions forcées (FEMED) et le Centre de Damas pour l’Etude des droits de l’Homme (DCHRS) expriment leurs plus vives préoccupations face à la répression aveugle caractérisée par le recours systématique des autorités syriennes à des arrestations, des détentions arbitraires et des disparitions forcées[1].
C’est le nombre de cas de personnes disparues qui restent inexpliqués depuis les 31 dernières années et examinés par le Groupe de travail de l’ONU sur les disparitions forcées ou involontaires de personnes.
Plusieurs villes libyennes demandent une intervention médicale et humanitaire immédiate et urgente dans certaines villes après des semaines de siège et de bombardements massifs et ciblés. La situation de ces villes est très critique et elles sont proches du désastre :
Le rassemblement organisé par le CFDA et SOS disparus à l’occasion de la journée internationale du droit des femmes ce mardi 8 mars à Alger, a réuni une centaine de mères et proches de disparus.
La Fédération EuroMéditerranéenne contre les disparitions forcées (FEMED) est extrêmement inquiète de la situation dramatique en Libye et notamment de la pratique des disparitions forcées qui commence à s’intensifier. De nombreuses violations des droits de l’Homme sont commises chaque jour dans le pays contre le peuple libyen et la répression orchestrée par les autorités est extrêmement sanglante. Le nombre de victimes, difficilement estimable en raison du climat de terreur qui a toujours régné en Libye, ne fait qu’augmenter chaque jour.